Volsturm ; avec un "k" en plus ; c'était royal Pas grave (ne tenons pas compte du w) C'est quoi des affairistes ? cf. ; Catalina and Co ; si je le dit "on" va dire que je déraisonne. Comme sur les coups d'avant. Je préfère déraisonner.
"Ca" coagule bien, la température est en augmentation constante, plus besoin de faire de paliers (c'est une perte de temps) comme prédit par certains il y a longtemps la fin sera savoureuse. (ce serait bien de trouver les neuneux qui ont eu l'idée, initialement, de remplacer l'hélium par de l'hydrogène .... )
Tout le monde sait (évidemment) que Wounded Knee, c'est un peu le retour de Little Big Horn (c'est bien d'avoir cela à l'esprit avant de s'engager dans "des trucs")
C"était un petit retour pour ce matin, dans la vraie vie ; rien de "cyber", mais vu qu"on se lit (et qu'il y a du monde !) ....
En 2008, durant l'été, cela donnait cela (affichage éléctronique au dessus d'une pharmacie, donc c'était beaucoup moins fin sur le plan graphique ..)
Non, cela donne une idée du niveau de connerie et d'implication dans certaines situations merdiques qui puent très fort, de certains ...
OP Pourrisons avec du délire les oreilles indiscrètes Cela branche quelqu'un ? Perso je procède comme cela : 1. Fixation du ou des sujets de l'expérience pendant un certain (raconter du grand n'importe nawak parler tout seul chez soi etc... 2. Silence radio (d'où frustration plus où moins bien gèrée par les sujets) L'étape d'après c'est balancé un scud sur la place publique (chaud et sportif)
Les résultats provisoires dépassent les prévisions initiales les plus optimistes C'est bien le travail d'équipe, non ?
bonjour a tous . je pense que les anon de champagne devraient montrer leur soutient envers les quelques membres de greenpeace qui on montré les failles d'un site sans les exploiter.
http://www.lepoint.fr/societe/le-pe...-prend-a-greenpeace-20-01-2012-1421344_23.php Le père d'une militante s'en prend à Greenpeace Le Point.fr - Publié le 20/01/2012 à 09:44 Neuf activistes comparaissent vendredi pour s'être introduits illégalement le 5 décembre dans la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine. Neuf militants de Greenpeace se sont introduits dans une centrale nucléaire en décembre. © Alain Julien / AFP C'est un père mort d'inquiétude qui tentera de prendre la parole vendredi matin au procès des neuf militants de Greenpeace. Ils comparaissent devant le tribunal correctionnel de Troyes pour s'être illégalement introduits le 5 décembre dernier dans la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine. Mario Dongara, 52 ans, a reconnu sa fille, Élisabeth, intermittente du spectacle de 22 ans, sur les images des chaînes d'info qui ont diffusé l'événement en boucle. À l'époque, "Lilli" est déjà sous le coup d'une condamnation d'un mois de prison avec sursis pour avoir participé à une action contre l'EPR de Flamanville. "Son sursis peut tomber et elle peut finir en prison", soutient Mario, qui attaque Greenpeace pour abus de faiblesse et mise en danger de la vie d'autrui. Au gardien de la paix qui recueillait sa déposition le père d'Élisabeth a adressé cette supplique : "Je souhaite sauver ma fille de Greenpeace." Sa déposition a été jointe à la plainte d'EDF. Élisabeth ne comprend pas la démarche de son père. Elle est fière de son exploit. Six femmes et trois hommes sont parvenus à atteindre l'un des réacteurs de la centrale en un quart d'heure, malgré une surveillance radar permanente, une double clôture électrifiée et la présence à proximité du peloton spécialisé de protection de la gendarmerie, des hommes formés par le GIGN contre les actes de malveillance. Le président de la République et son gouvernement, par la voix de Claude Guéant, s'ils ont condamné l'acte, ont été contraints de reconnaître que Greenpeace avait mis au jour les failles inquiétantes dans la sécurité du parc nucléaire. "C'était une mission d'intérêt public", dit-on aujourd'hui au sein de l'ONG. "C'est de l'inconscience totale" Mais Mario Dongara n'a que faire de la témérité des activistes. Poursuivis pour violation de domicile et dégradation grave en réunion d'un bien d'utilité publique et, pour certains, refus de prélèvement d'ADN, ils risquent chacun jusqu'à cinq ans de prison et 75 000 euros d'amende. Il a remué ciel et terre pour faire entendre sa voix auprès de l'ONG, qui a dépêché son avocat. "L'avocat de Greenpeace a reconnu que ma fille n'aurait pas dû faire partie de l'opération", compte tenu de son passé judiciaire, s'agace Mario. "La mère d'Élisabeth s'est suicidée dans le courant de l'année 2011, elle était affaiblie psychologiquement. Ils l'ont envoyée commettre une action illégale, alors qu'elle était en sursis suite à une autre action de l'association. C'est de l'inconscience totale. On lui a dit que les policiers devaient faire des sommations avant de tirer. Mais dans une situation de tension, on ne peut rien exclure !" s'emporte le père furieux. Pour lui, "Greenpeace, c'est une secte. Ma fille a eu le sentiment d'être élue." Jointe par Le Point.fr, Élisabeth reconnaît que sa situation judiciaire avant l'ouverture du procès n'est pas des plus confortables. "Mais je suis majeure, rappelle-t-elle, et je suis fière d'avoir participé à cette action pacifique. Personne ne m'a manipulée. Mon père ne m'aide pas en dramatisant à outrance." Sabrina Boesch, l'avocate de Mario, s'étonne de la légèreté dont a fait preuve l'ONG : "Je ne pense pas que la fille de mon client a été correctement informée des peines encourues." Les adhérents de Greenpeace qui participent à ses actions sont pourtant bien briefés par des avocats. "Nos militants s'engagent en connaissance de cause. Ce ne sont ni des soldats ni des robots. Ils peuvent changer d'avis jusqu'à la dernière minute", assure un responsable.