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Avec PRISM la NSA accèderait aux données de centaines de millions de personnes

Discussion in 'Anonymous Pour la Liberté d'Expression' started by LeJoker, Jun 7, 2013.

  1. LeJoker Member

    http://www.journaldugeek.com/2013/06/07/nsa-espionnage/
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  2. Met_anon Member

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  3. Menthe Moderator

    Ce que je ne comprends pas personnellement, c'est pourquoi tout le monde ne s'y penche que maintenant ? Parce qu'aux dernières nouvelles, les services privés font ce qu'ils veulent de leurs données acquises gracieusement depuis les utilisateurs eux même, et ce depuis leur création :)
  4. Pinkman Moderator

    Je ne suis qu'à moitié surpris.
    Quid des entreprises françaises et européennes?
  5. anonyme404 Member

    Accès du FBI aux serveurs de Google, Facebook et Apple: un nouveau scandale orwellien


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    Shutterstock
    Les géants américains de l’Internet, à poils face au FBI. D’après les révélations du quotidien britannique “The Guardian” ce vendredi, les renseignements américains auraient accès à plusieurs serveurs dont ceux de Google, Facebook, Apple, Yahoo! et Microsoft.

    The FBI is watching you. Ce ne serait pas la première fois que la célèbre fiction de George Orwell collerait à la réalité. Les révélations duGuardian, ce vendredi, lèvent le voile sur une nouvelle facette de l’espionnage d’Etat made in America.
    D’après le quotidien britannique, le FBI et l’Agence nationale de sécurité américaine ont directement accès aux serveurs centraux de neufs grosses entreprises américaines via un programme : le PRISM. L’administration américaine aurait ainsi la possibilité de saisir “des extraits audio, des vidéos, des photos, des extraits de conversations, des mails, ou encore des mots de passe permettant de traquer les activités de cibles étrangères”, d’après un document secret que s’est procuré cette fois-ci le Washington Post. Grâce au PRISM, la NSA peut donc obtenir “des communications ciblées, sans avoir à les demander aux fournisseurs de services et sans passer par les tribunaux”, explique le Guardian.
    Google, Facebook et Apple font profil bas
    Les géants du Web concernés, eux, font profil bas. Google a indiqué aux deux journaux qu’il tenait profondément à la sécurité des données de ses utilisateurs :
    “Nous ne divulguons de données à l’État fédéral qu’en accord avec la loi, et nous examinons ces demandes avec attention. Des personnes affirment que nous avons créé une ‘porte d’entrée cachée’ pour l’Etat dans nos systèmes, mais Google n’a pas de ‘porte d’entrée cachée’ pour que l’Etat accède à des données privées d’utilisateurs”.
    Facebook et Apple démentent également entretenir des relations directes avec les renseignement américains.
    Or, peu de serveurs sont épargnés et la liste des entreprises intégrant le PRISM est en train d’augmenter : Skype, AOL, YouTube et Apple font désormais partie de la liste. Les services de Dropbox seraient bientôt intégrés, indique le document. Seul Twitter n’est pas présent sur la liste mais cela ne saurait tarder, ironise un journaliste du site Gawker.
    Verizon, les relevés téléphoniques, et la lutte contre le terrorisme
    Selon le Washington Post, PRISM a été lancé après l’échec de l’initiative secrète de George W. Bush en 2007 sur la surveillance intérieure. A l’époque, l’administration Bush avait voulu autoriser la NSA à surveiller, sans mandat judiciaire préalable, les coups de fils, mails et les activités des citoyens américains sur Internet, afin de lutter contre le terrorisme. Le projet avait engendré un tollé médiatique et des poursuites judiciaires et avait fini par être annulé.
    C’est au nom de cette même lutte que Barack Obama a défendu, jeudi, la saisie automatique de centaines de millions de données téléphoniques de citoyens américains par Verizon. L’opérateur américain de télécommunications remettrait quotidiennement à la NSA les relevés téléphoniques de millions d’abonnés, a révélé jeudi le site de The Guardian.
    http://www.lesinrocks.com/2013/06/0...e-facebook-apple-scandale-orwellien-11401337/
  6. LeJoker Member


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  7. Met_anon Member

    Dans le cas présent il ne s'agit pas seulement des "données acquise gracieusement" mais surtout du contenu des échanges et activitées sur les comptes des utilisateurs de ces services : contenu des mails, messages instantanés, chat video et audio, documents etc ...
    On est bel et bien dans de l'espionnage de masse et ce a un niveau bien différent que le profilage statistique des habitudes de consomation.....
    Pourtant les services privé mettent en avant des clauses de confidentialité (qu'il continuent d'affirmer respecter contre toute évidence).

    Pour rire on dit class action ?
  8. Menthe Moderator

    Et bien ? Oui, ça a toujours été ça, c'est ce que je dis :) Si tu mets un plan d'une machine géniale pour moudre le café que tu as conçu toi même, sur Facebook : même en privé, même par messages privés : Facebook aurait le droit de te piquer l'idée et de déposer un brevet. Tout ce que tu y mets leur appartient. Ils pourraient même carrément prendre des publications des autres et les afficher comme étant les tiennes s'il n'y avait pas une loi contre l'usurpation d'identité. Pour le reste, ils font ce qu'ils veulent ! :)
  9. Padawanon Member

    Il y aurait aussi le systéme RIOT (Rapid Information Overlay Technology), un moteur de recherche capable de compiler les informations des réseaux sociaux jusqu'a prédire les lieux ou on a le plus de chance de trouver la personne cherchée (pas réussi à mettre la main dessus). Le meilleur moyen c'est encore de ne pas leur donner d'information, mais comment faire lorsqu'on sait qu'aujourd'hui tout se passe de plus en plus par internet ( impots, mail pour raison professionnel, achats, réseaux sociaux "sacrée connerie ce machin", etc...), et même pour les entreprises obligation de tout télé déclarer. On va bientôt pouvoir voir disparaitre les auteurs de biographie avec un clic se sera bientôt possible.
    J'ai aussi entendu parler de certaines compagnies qui augmentent leurs prix en fonction du nombre de visites du clients sur internet( par ip), ils vont bientôt savoir nos goûts mieux que nous.
  10. Met_anon Member

  11. Il semblerait que ce soit un ex de la CIA qui ai craché le morceau pour Prism. Il aurait demandé au Guardian de donner son nom. Couillu !. A vérifier quand même.
  12. benjaltf4_ Member

    J'ai été surpris que cela fasse autant de bruit, car ça fait "longtemps" que cela ce sait.

    ->> Lire "Menaces sur nos libertés" De Julain Assange, de nombreux paragraphes y sont dédiés, il y a également Blackberry et d'autres services qui participent à des programmes proches.
  13. http://www.pcinpact.com/news/80378-un-ex-agent-cia-a-origine-fuites-sur-programme-prism.htm

    Un ex-agent de la CIA à l'origine des fuites sur le programme PRISM

    La fin de semaine dernière a été marquée par les révélations au sujet de PRISM, le programme de la NSA pour collecter des montagnes de données à l’étranger, grâce au concours de géants des services web tels que Google, Microsoft, Yahoo ou encore Facebook. Le Guardian, premier journal à avoir tiré la sonnette d’alarme, révèle désormais l’identité de la source par qui le scandale est arrivé : Edward Snowden.



    Un ex-agent de la CIA fournit les informations sensibles

    Vendredi dernier, les échos de l’affaire PRISM ont enflammé le web. Des documents révélés par le Washington Post montraient l’existence d’un vaste filet capable de capter les données de millions d’individus dans le monde entier, via des remontées d’informations par des géants de l’internet. La veille, c’était le journal The Guardian qui braquait les projecteurs sur la collecte, par Verizon et d’autres opérateurs, de métadonnées sur les appels passés depuis le sol américain.

    Derrière ces informations, se cache un ex-employé de la CIA, Edward Snowden. Âgé de seulement 29 ans, cet ancien assistant technique a fait le choix délibéré de révéler de précieux documents car son travail lui avait permis de constater à quel point la surveillance exercée par les agences de renseignements était profonde. Il avait réalisé, selon ses propres dires, qu’il faisait « partie de quelque chose qui faisait bien plus de mal que de bien ».

    Itinéraire d’un dénonciateur

    Edward Snowden n’était pas particulièrement brillant durant sa scolarité. Dans sa jeunesse, sa famille s’est installée dans le Maryland, près du quartier général de la NSA (National Security Agency). En 2003, tout change cependant quand il rejoint l’armée pour prendre part à la guerre en Irak. Animé par « un besoin en tant qu’être humain d’aider à se libérer des gens de l’oppression », il déchante rapidement : « La plupart de ceux qui nous entraînaient étaient surtout motivés par l’envie de tuer des arabes, pas d’aider quiconque ». Deux jambes cassées ont raison de lui au cours d’un entraînement.

    Son premier emploi après l’armée est un poste de surveillant dans une agence de la NSA. Un peu plus tard, il quitte l’agence pour la CIA (Central Intelligence Agency) et se spécialise dans la sécurité informatique. En dépit d’un niveau scolaire très classique, il montre alors un vrai talent pour le développement, ce qui lui permet de gravir les échelons.

    La désillusion survient en 2007, quand la CIA l’envoie en poste à Genève : son expertise des systèmes informatiques doit alors lui permettre d’accéder à des données confidentielles, le tout en bénéficiant d’une couverture diplomatique. Il y assiste à un épisode qui va le marquer. Pour convaincre un banquier suisse de livrer des informations bancaires sensibles, la CIA n’a pas hésité à le soûler au cours d’une soirée pour l’encourager ensuite à rentrer chez lui en état d’ébriété. Arrêté par la police, l’agent de la CIA s’est proposé de l’aider. Une fois sorti du pétrin, le banquier s’est montré plus coopératif.

    Edward Snowden réfléchit alors pour la première fois à divulguer des informations pour montrer au monde ce qui se passe. Deux raisons l’en empêchent toutefois : les informations de la CIA sont concentrées sur les personnes, non les technologies, et l’élection récente d’Obama (2008) lui donne de l’espoir. Mais le nouveau gouvernement marche dans les pas de l’ancien et institutionnalise la surveillance généralisée. Il constate dans son travail que la NSA veut tout absorber : « Ils ont l’intention de connaître toutes les conversations et tous les comportements dans le monde ».

    Snowden ne se considère pas comme un héros car il avoue avoir révélé ces documents par « égoïsme » : « Je ne veux pas vivre dans un monde où il n’y a aucun respect de la vie privée et donc aucun espace pour l’exploration intellectuelle et la créativité ». Il en est d’ailleurs persuadé, les programmes de la NSA sont « une menace existentielle pour la démocratie », et le gouvernement « s’est octroyé des pouvoir auxquels il n’a pas droit ». Conséquence : « des gens comme moi ont toute latitude pour aller plus loin qu’ils n’en ont l’autorisation ».

    Répercussions

    Les conséquences pour Edward Snowden seront probablement assez négatives. Caché à Hong-Kong dans un hôtel, il estime lui-même avoir trois destins potentiels : faire face à une demande d’extradition par les États-Unis (ce qui pourrait prendre du temps), être interrogé et utilisé par le gouvernement chinois en tant que source d’informations très utile, ou il pourrait faire l’objet d’une opération spéciale visant à le récupérer. Car il est certain, surtout après des années à travailler dans les renseignements, que ceux qui sont à sa recherche finiront nécessairement par savoir où il se trouve.

    Considérant toutes ses « options comme mauvaises », il compte tout de même demander l’asile politique. Son choix se portera sur un pays dans lequel la défense de la vie privée est un principe. L’ex-agent de la CIA, dont l’ordinateur portable porte un autocollant de l’EFF (Electronic Frontier Foundation) pense ainsi à l’Islande. Un destin qui n'est pas sans rappeler celui de Julian Assange de WikiLeaks.

    Car une enquête aura bien lieu. Réclamée par la NSA, elle doit conduire à punir le ou les responsables de la fuite d’informations. Et le cas d‘Edward Snowden risque d’être d’autant plus alourdi qu’il ne regrette clairement pas son geste et l’assume totalement. Ce qui pourrait d’ailleurs accélérer une procédure d’extradition selon l’avocat Douglas McNabb, interrogé par le Washington Post. L’enquête pourrait également toucher Glenn Greenward, journaliste américain travaillant pour le Guardian anglais.

    Le Wall Street Journal pointe quant à lui les répercussions pour les entreprises incriminées. Car si d’un côté elles ont toutes démenti l’accès direct à leurs serveurs et insisté sur l’examen des requêtes envoyées par les agences, le gouvernement lui-même a confirmé l’existence du programme PRISM. De fait, s’il n’y a pas d’accès direct, que se passe-t-il exactement ?

    Le Washington Post est revenu sur son hypothèse de transmission directe des données, en la modulant quelque peu. Les démentis des entreprises sont tous basés sur le lien qui existerait entre la NSA et leurs propres serveurs, brassant les montagnes de données de millions d’utilisateurs étrangers. Or, le Post parle maintenant d’une potentielle semi-automatisation, l’article initial ayant été mis à jour, sans avertissement, pour être adouci. Selon le Huffington Post, le journal aurait décidé de publier rapidement pour des raisons de concurrence, interprétant alors mal certaines informations présentes dans le fameux document PowerPoint qui résultait de la fuite. Pour Ed Bott, de chez ZDnet, le Washington Post a clairement voulu générer du clic en dramatisant la situation.

    Il n’en reste pas moins que le cœur du sujet, autrement dit la surveillance très large de la NSA, reste présent. Et ce d’autant plus que la source à l’origine de la fuite a choisi elle-même de se révéler. Les conséquences, qu’il s’agisse de l’avenir d’Edward Snowden, de la crédibilité des entreprises impliquées ou du destin du programme PRISM, restent encore à déterminer.

    Source : The Guardian
  14. Anonymous Member

    On a quand même Amesys! cocorico
  15. monsieur alain a été vu recemment avec son ami de trente ans manuel
    les affaires reprennent ?
    une affaire" julien coupat" se prepare ?
    "anonymous" serait il la prochaine cible ?
    hé vidocq toujours ici a faire les poubelles ?
  16. anonyme404 Member

    http://www.legorafi.fr/2013/06/12/p...ur-se-proteger-des-logiciels-de-surveillance/

    PRISM, DCRI, NSA : Les conseils du Gorafi pour se protéger des logiciels de surveillance


    iStock_000020317880XSmall-370x290.jpg
    Depuis quelques jours le scandale de lectures de données privées PRISM agite l’Internet mondial. Même si le gouvernement américain se défend d’avoir espionné ses propres citoyens, il apparaît donc qu’il a espionné des citoyens non-américains. Face à cela et à la possible intrusion dans votre privée, quelle parade ? Le Gorafi vous aide à y voir plus clair et à vous préparer.
    N’échangez aucune information sur aucun réseau social. Ne parlez à aucun tiers ni sur Facebook, si sur Twitter, ni même GooglePlus, si d’aventure vous vous y risquez. Si jamais vous souhaitez vous inscrire sur un de ces réseaux malgré nos avertissements, utilisez un faux nom. Pour mieux tromper la vigilance d’autrui, utilisez un faux faux nom et inventez totalement tous les événements concernant votre vie privée. Les mouchards seront ainsi totalement bernés. Attention, n’allez pas trop loin dans l’invention ou dans l’extravagance, prétendre que vous êtes agent secret ou membre de cellule dormante peut-être brutalement dangereux pour votre santé et celles de faux-proches.
    Sur Twitter, la meilleure des solutions pour éviter que vos informations ne soient visibles de toutes et de tous, consiste à passer en “compte privé”. Ainsi, seules les personnes que vous aurez autorisé à vous suivre seront à même de vous lire. Par mesure de sécurité, n’acceptez ainsi aucune proposition et effacez vos tweets immédiatement après avoir été postés. Ainsi, il ne subsistera aucune trace de vos tweets sur le réseau.
    Si vous êtes actuellement sur Internet, cliquez sur Alt-F4. Appelez votre fournisseur d’accès internet. Si vous réussissez à le joindre, faites-lui part de votre intention de résilier votre abonnement dans les plus brefs délais. Faites de même avec votre téléphone, qui peut être tracé et repéré. Débranchez votre modem, ainsi que votre ordinateur et revendez le tout sur Ebay.
    Éloignez vous de toutes possessions matérielles, fuyez vos amis qui pourraient rapporter tous vos faits et gestes sur d’autres réseaux sociaux.
    Louez une grotte.
    La Rédaction
  17. Met_anon Member

    Source : The New York Times : The criminal NSA
  18. Roger.Guy Member

    Z'êtes pires que la DCRI les mecs ; vous savez tout ! :)

    Vous êtes cons.
    signé : Gedéjavu Détruckomça. (Z'avez vu mon nom : ch'uis pas Français, pas grave ?)

    Ils prennent pas de gants avec la NSA ; cela prouve qu'ils ne sont pas en danger.
    Si la NSA plombe des journalistes du NY aux states ; ça va ce savoir là-bas, ça va faire des grosses vagues.
    (style, la cour suprême qui dit que c'est anticonstitutionnel au bout d'un certain temps et c'est fini.
    A yé la récréation, y a plus. Ils font des trucs comme cela aux states, je crois)
  19. Met_anon Member

    P.R.I.S.M.
    Au moins 7 pays européens auraient des accords avec la nsa selon un article du guardian publié puis supprimé au motif de complément d'investigation.

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  20. Anonymous Member

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  21. berurier Member

    Paris, 6 juillet 2013 — La Quadrature du Net appelle les citoyens de la région parisienne à participer au rassemblement en solidarité avec Edward Snowden le dimanche 7 juillet à 14h sur le Parvis des droits de l'Homme, place du Trocadéro à Paris.
    edward-snowden-pose.jpg
    Edward Snowden
    Ce rassemblement sera la première manifestation dans l'espace public du refus des citoyens que soient traqués et persécutés ceux qui alertent sur les atteintes aux droits fondamentaux, alors qu'ils devraient bénéficier de la protection de tous. Pendant ce temps, seules des mesures insignifiantes sont prises contre les responsables de la mise en place d'une surveillance universelle des citoyens avec la complicité des plus grands opérateurs de sites et services Web. Vous pouvez lire cette analyse de Human Rights Watch sur le droit d'Edward Snowden à recevoir l'asile.
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  22. Anonymous Member

    Lol ! LQDN, toujours a coté de la plaque, et la première à dire que les manifs Anonymous dans la rue sont inutiles parce que, je cite à peu près, "l'action populaire dans la rue n'a jamais fait changer aucune décision politique, essentiellement concernant les libertés du net". Qu'ils aillent se faire foutre, à 3 connards dans la rue avec des drapeaux du Parti Pirate.
  23. Pinkman Moderator

    +9000
  24. Anonymous Member

    A priori c'est le Parti Pirate qui a lancé l'idée. Ils ont prévenu vendredi pour dimanche ? Un peu court, pour le coup.
    Deux lieux de rassemblement ? Pourquoi le Trocadéro ?
    Ca a déjà eu lieu d'ailleurs, à 14h : alors ça a donné quoi ? Deux perdus et un clodo avec un demi drapeau ? Des photos ?
  25. Anonymous Member

    PdnyV0z.gif
  26. berurier Member

    3002246063048manifestationdesoutienaedward.jpg

    Une quarantaine de personnes, pour la plupart des militants d'organisations de défense des droits et libertés sur internet, se sont rassemblées dimanche à Paris pour soutenir l'ex-consultant de renseignement américain Edward Snowden bloqué à Moscou et érigé en héros, selon des journalistes de l'AFP. (c) Afp
    Paris (AFP) - Une quarantaine de personnes, pour la plupart des militants d'organisations de défense des droits et libertés sur internet, se sont rassemblées dimanche à Paris pour soutenir l'ex-consultant de renseignement américain Edward Snowden bloqué à Moscou et érigé en héros, selon des journalistes de l'AFP.
    Ces quelques dizaines de manifestants se sont regroupés au Trocadéro derrière une banderole "Protégeons Snowden, Manning, Assange. Europe ouverte pour les lanceurs d'alerte". Certains portaient des masques à l'effigie de M. Snowden.
    "Les gouvernements de l'essentiel de la planète sont actuellement complices des efforts des Etats-Unis pour mettre la main sur Snowden alors qu'ils devraient reconnaître le rôle de défenseur des droits et des libertés qu'il a eu en dénonçant le scandale de l'espionnage massif des citoyens du monde entier", a fustigé Philippe Aigrin, un des responsables de la Quadrature du Net.
    Pour le Parti pirate, "la France des Lumières et des droits de l'Homme doit lui accorder protection, parce que sa vie est en péril", a suggéré son porte-parole en Ile-de-France, Alexia de Saint John's. La France, comme beaucoup d'autres pays, a rejeté la demande d'asile de M. Snowden.
    Les manifestants s'en sont également pris aux puissants moteurs de recherche sur internet, leur reprochant d'être "des mouchards aux ordres des pouvoirs".
    Edward Snowden est bloqué depuis deux semaines dans la zone de transit de l'aéroport de Moscou-Cheremetievo. Il a demandé l'asile à 21 pays, dont la plupart ont refusé. Trois pays d'Amérique latine se disent prêts à l'accueillir.

    Attached Files:

  27. Anonymous Member

    LOL. Alors là, c'est du grand art.

    • L'AFP et ses news rédigées par des stagiaires (je sais de quoi je parle, et tout ceux qui connaissent un peu le milieu comprendront ;) ). Que du contenu observé, "j'ai vu sur une vidéo Youtube que... Alors j'vais en faire un article".
    • Libération et Le Monde qui sortent copié/collé cette info, ça doit forcément être vrai.
    • 40 personnes ? Des photos ? Non parce que l'AFP, moi...
    • "des masques à l'effigie de M. Snowden" ?! C'est du putain de papier cul qu'on a découpé avec une sale trogne imprimée dessus, s'il vous plait...
    Bref, de la belle merde cette manif, même les chinois y a 3 semaines ont fait 100x mieux => http://www.dailymotion.com/video/x10xeh1_manifestations-de-soutien-a-snowden-a-hong-kong_news
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  28. berurier Member

    Ha la la les sempiternelles analyses à deux balles.

    Toujours cette grande maitrise des images poétiques :D
  29. Anonymous Member

    Pas de source viable = C'est du vent, même si je te remercie pour avoir transmis les infos
  30. Anonymous Member

    On peut dire la même chose de tes posts vide, creux et sans aucune valeur ajoutée.
    Après tu te prétends Anon.
  31. berurier Member

    Je ne me prétends rien du tout et contrairement a toi j'assume ce que je suis monsieur le DRH anonymous.
  32. berurier Member

    Espionnage d'internet : pourquoi deux associations françaises ont porté plainte contre X

    La Fédération internationale des droits de l'homme et la Ligue des droits de l'homme s'interrogent sur le rôle des géants d'internet dans le système d'espionnage américain.

    2256566.jpg Manifestation à Paris, le 7 juillet 2013, en soutien à Edward Snowden, l'informaticien qui a révélé l'affaire d'espionnage américain. (KENZO TRIBOUILLARD / AFP)
    Par Francetv info avec AFP
    Mis à jour le11/07/2013 | 13:15, publié le11/07/2013 | 09:25
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    La Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH) et la Ligue des droits de l'homme s'invitent dans le scandale Prism. Les deux associations ont déposé, jeudi 11 juillet, une plainte contre X dans l'affaire d'espionnage des communications électroniques par l'agence de sécurité américaine NSA. Elles réclament l'ouverture d'une enquête pour éclaircir le rôle joué par les sociétés de télécommunications américaines dans l'espionnage des données mondiales révélé par Edward Snowden.
    Qui est visé ?

    Même si la plainte est déposée contre X, les deux associations s'interrogent dans leur plainte sur le rôle de plusieurs acteurs.
    Les deux agences de renseignement américaines. La National Security Agency (NSA) et le Federal Bureau of Investigation (FBI), qui ont mis en place le programme Prism, sont naturellement visés."Sous couvert de la lutte contre le terrorisme et de la criminalité organisée, ce système d'interception des données privées a permis à la NSA et au FBI de collecter des données matérielles incluant notamment les historiques de recherches et de connexions effectuées sur le net, le contenu d'e-mails, de communications audio et vidéo", dénoncent la FIDH et la LDH dans un communiqué.
    Les géants d'internet. Les deux associations s'interrogent aussi sur le rôle joué par les sociétés propriétaires des serveurs espionnés, à savoir Microsoft, Yahoo!, Google, Paltalk, Facebook, YouTube, Skype, AOL et enfin Apple. D'après les révélations d'Edward Snowden, la NSA et le FBI ont disposé d'accès directs aux serveurs de ces géants de l'internet. La FIDH et la LDH se demandent si ces sociétés disent toute la vérité quand elles assurent qu'elles n'étaient pas au courant. Les associations rappellent dans leur plainte que selon l’administration américaine, le programme Prism était connu depuis 2006. De plus, plusieurs experts estiment que les sociétés concernées ne pouvaient ignorer la collecte des données hébergées sur leurs serveurs. Emmanuel Daoud, l'un des avocats de la FIDH et de la LDH, a précisé sur France Info que les filiales françaises de ces sociétés pourraient également être concernées.
    Quels sont les faits reprochés ?

    Selon les associations, le programme Prism est une "intrusion sans contrôle dans la vie de chacun" qui "constitue un danger considérable pour les libertés individuelles". Dans leur plainte, elles pointent cinq infractions sanctionnées par le Code pénal : "un accès non autorisé sur un système de traitement de données", "des collectes de données à caractère personnel", "des atteintes volontaires à l'intimité de la vie privée" et une utilisation d'enregistrements obtenus par ce biais, ainsi qu'une atteinte "au secret des correspondances électroniques".
    Tous les citoyens français sont concernés "dès lors que ces derniers utilisent Google, Microsoft, Apple, Skype et d'autres sociétés qui sont également visées", a estimé Emmanuel Daoud sur France Info.
  33. En Allemagne ça bouge un peu plus qu'en France.

    [IMG]

    http://www.franceinfo.fr/societe/al...-surveillance-electronique-1134087-2013-09-07
    Allemagne : nouvelle manifestation contre la surveillance électronique


    Dirigée contre toutes les atteintes à la vie privée, la manifestation de samedi, en Allemagne, avait principalement pris en grippe l'agence américaine de surveillance électronique NSA. Le gouvernement allemand, jugé trop laxiste et timoré dans sa réaction face à l'espionnage américain, a lui aussi été critiqué.
    Des milliers de manifestants ont participé samedi à Berlin à une manifestation pour dénoncer les atteintes à la vie privée, notamment par la surveillance des télécommunications par les services secrets comme l'agence américaine NSA.

    La police refuse de donner une estimation

    Le collectif d'organisations qui avait appelé à manifester sous le slogan "la liberté plutôt que la peur" -parmi lesquels figurent les Verts, le parti de gauche radicale Die Linke et le parti Pirate-, a revendiqué 20.000 manifestants. La police de Berlin a elle refusé de commenter ce chiffre ou de donner une estimation.

    "Merci Prism!"

    Dans le cortège, on pouvait voir des pancartes aux messages clairs comme "Arrêtez de nous espionner !" ou à l'ironie mordante comme: "Merci Prism (le programme d'espionnage mené par l'agence américaine NSA), grâce à toi le gouvernement sait enfin ce que veut la population"


    Initialement dirigée contre l'atteinte à la vie privée en général, la manifestation s'est rapidement lancée contre une critique de la passivité du gouvernement allemand face aux écoutes américaines. "Notre gouvernement, dont l'un des rôles fondamentaux est de nous protéger de tout dommage, se contente d'explications lénifiantes", a ainsi dénoncé Kai-Uwe Steffens, un militant.

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