Hahaha, bon déja, ca vient de causeur, le journal entièrement financé par des gros lobbys, et qui se propose de publier directement des "avis" de lobbistes..
Oui, c'est un blog qui est hébergé par Causeur, avant par d'autres. Intéressant pour les références bibliographiques et autres. Les références (parfois) issues du commentariat le sont aussi. Ça aère les neurones ; dans un précédent billet (je filerai le lien après, là je n'ai pas le temps) on trouve un livre d'un américain, à propos des assignations identitaires ===> à propos de cancel culture , ... soit dit en passant Vu que je ne l'ai pas encore lu, j'arrête là. EDIT Le billet est lisible par là : https://www.causeur.fr/thomas-chatterton-williams-autoportrait-en-noir-et-blanc-195555 Vous pouvez zapper le commentariat, accessible avec un compte discus parait-il, désormais. Ce n'est pas celui-là que j'évoquais de toutes façons ... bis repetita (voir le commentaire suivant, antérieur à l'Edit)
J'évoque le commentariat accessible via le blog indépendant de ce qui est hébergé par causeur ... Il suffit de suivre un peu les commentaires pour voir que ce n'est pas du même tonneauPour l'heure le blog, indépendamment de ce qui est hébergé par causeur est dans les choux Hier ou un peu avant le taulier du blog prévenait que c'était à moitié à la ramasse jusque samedi, ne serait-ce que ses possibilités d'accès a ce que l'on appellerait la modération.Probablement des geeks qui font des petits réglages de bidouilleurs d'applis pour sous-développés... ca ne dure jamais bien longtemps (c'est un peu comme les histoires de Ddos )
ah il y aura peut etre le retour de cheminade en ce mioment il collent partout des petites affichettes anti ecolos ,et asselineau "flatline " complement encephalo plat , ,lassale il est souvent present a l'assemblée peut etre candidat ,et christiane taubira ,ses supporters collent partout dans paris
l'année s'annonce dure et difficile a un an des elections .. ah vu sur une facade de magasin hier a paris ....
Franchement, il y a clairement un pb avec les FDO qui sont de plus en plus violents, racistes, et seuls piliers du pouvoir en place. Ces putes sont totalement en roue libre avec la macronie, l'apotéose de ca a surement été les manifestations pour conserver le droit de faire des clés d'étranglement, au moment meme ou les américains manifestaient et ou ils ont assassiné Cédric Louviat. Toutes les dictatures ont leur police politique qui fait la sale besogne pour s'assurer que les riches restent riches et que les pauvres restent pauvres.
ah oui il y a aussi le philiipe pot ....ca va etre serré sur l'extreme droite entre ducon gangnan et assez de lino
Re ; pas de source (lien URL ou autre) Plus flood énorme ... J'ai encore tout viré ; ca me prend 4 secondes (c'est l'évaluation le plus long)
proximité pour eric dureux ;; avec de jeunes adolescentes ....il aurait été condamné pour pedophilie ...
Meeting d’Eric Zemmour : une enquête ouverte sur les violences à Villepinte Les investigations vont porter sur des violences subies par des militants de SOS-Racisme et sur l’empoignade du candidat par un homme. Depuis dimanche, les réactions politiques se sont multipliées. Une enquête a été ouverte sur « les faits de violences commis à l’intérieur du meeting » du candidat d’extrême droite Eric Zemmour, dimanche, au Parc des expositions de Villepinte (Seine-Saint-Denis), a annoncé le parquet de Bobigny, lundi 6 décembre. Confiées à la sûreté départementale, les investigations portent notamment sur des violences contre des militants de SOS-Racisme présents lors de la première réunion publique de la campagne présidentielle de M. Zemmour. Après avoir arboré des tee-shirts dont les lettres permettaient de former le message « Non au racisme ! », plusieurs militants antiracistes ont été bousculés par des sympathisants du candidat d’extrême droite, puis violemment frappés, parfois par plusieurs personnes simultanément. Les vidéos montrent également qu’ils ont été visés par plusieurs jets de chaise. Une militante de SOS-Racisme a notamment été filmée le visage ensanglanté à l’issue de ces heurts. Plaintes de journalistes L’enquête ouverte lundi porte également sur l’empoignade de M. Zemmour par un individu avant son entrée en scène. L’homme a été aussitôt exfiltré puis interpellé par la police. L’entourage du candidat d’extrême droite avait fait savoir dans la soirée de dimanche qu’il souffrait d’une blessure au poignet et s’était vu prescrire neuf jours d’interruption temporaire de travail (ITT). Le parquet de Bobigny a cependant souligné lundi que le certificat fourni par le candidat n’avait pas été établi par une unité médico-judiciaire, seule habilitée à déterminer les ITT en vue de poursuites pénales. La garde à vue de l’homme soupçonné de « violences avec préméditation » commises sur Eric Zemmour a été prolongée, a également précisé le parquet dans un communiqué. Des journalistes ont aussi été pris à partie lors du meeting, notamment l’équipe de l’émission « Quotidien » (TMC) ainsi que deux journalistes de Mediapart, qui ont été frappés derrière la tête. Ces derniers ont déposé plainte lundi, selon un document consulté par l’Agence France-Presse. Pour la droite et l’extrême droite, c’était une « provocation » Lundi matin, des élus de droite et d’extrême droite ont estimé que la présence des militants de SOS-Racisme était une « provocation ». Tout en condamnant « toute forme de violence », le député du Nord et porte-parole du Rassemblement national (RN) Sébastien Chenu a ainsi jugé, lundi, sur France 2, qu’il y avait eu de « la provocation inutile » de la part des militants antiracistes. « Ce n’est pas responsable. Lorsqu’on est un militant totalement opposé à une idée ou à un candidat, on ne vient pas dans un meeting prendre le risque d’altercations », estime-t-il. Pour la candidate des Républicains (LR), Valérie Pécresse, « il faut garder son sang-froid ». « Il faut à la fois une liberté d’expression ; moi, je suis pour la liberté d’expression de tous ceux qui ne pensent pas comme moi (…). Les provocations dans les meetings, ça existe, c’est jamais agréable, j’en ai eu comme tout le monde », a-t-elle regretté sur France Inter. « Il faut surtout bannir la violence des meetings, le plus possible. Dans les deux cas, parce que vous savez que l’extrême gauche peut parfois être ultraviolente dans un meeting », a-t-elle ajouté. Pour le président du Sénat, Gérard Larcher (LR), « toutes les violences sont inadmissibles, et le droit à manifester est essentiel. Mais, en même temps, la provocation dans une réunion peut inciter à [des violences] ». « Donc je crois qu’il faut que chacun retrouve les voies de l’apaisement », a poursuivi M. Larcher sur Franceinfo, appelant à « respecter la liberté d’expression, comme la liberté et le droit de manifester ». « Je pense à cette jeune femme qui, certes, a des opinions différentes de celles d’Eric Zemmour, mais qui sort ensanglantée. Tout simplement parce qu’elle est venue non pas scander, mais afficher un non au racisme », a regretté sur Europe 1, lundi matin, le président du groupe La République en marche (LRM) à l’Assemblée nationale (LRM), Christophe Castaner. « On voit bien que l’extrême droite, qu’elle ait le visage d’Eric Zemmour ou d’autres, ne change pas, l’extrême droite est portée par la violence des attaques contre ses adversaires, par la violence des attaques contre la France », a-t-il poursuivi. « On venait pour titiller les personnes » « Nous n’imaginions pas que cela pouvait déraper à ce point. On venait évidemment pour titiller les personnes », a déclaré le président de SOS-Racisme, Dominique Sopo, sur Franceinfo. Selon lui, « il faut être soit ivre de racisme, soit dans une forme de certitude de toute-puissance pour pouvoir faire un acte pareil devant des caméras ». Alors que « cinq personnes ont été blessées », selon M. Sopo, celui-ci a fait savoir que SOS-Racisme « accompagner[ait] les militants pour qu’ils déposent plainte ». Du côté de l’équipe de campagne de M. Zemmour, ces violences ne sont pas condamnées. Ces personnes « n’avaient pas à être là, il ne faut pas venir faire de provocation dans notre salle », a réagi Antoine Diers, porte-parole du nouveau parti du candidat d’extrême droite, Reconquête. « S’il y a eu usage de la force avec excès, je le regrette, mais je trouve qu’avec toutes les provocations qu’on subit on est vraiment très, très calme », a-t-il ajouté. « On est les gens les plus provoqués. On a l’impression d’être caricaturés tout le temps. Dans un pays démocratique, tout le monde a le droit de défendre des idées », a-t-il déclaré. « Le fait de venir dans un meeting en République française avec des tee-shirts avec la phrase “Non au racisme”, c’est donc une provocation, s’est étonné M. Sopo. Je rappelle qu’on est en république et qu’en république, normalement, on peut pouvoir dire “Non au racisme” partout. Les militants (…) étaient au fond de la salle. Il n’était pas du tout question d’envahir la scène ou je ne sais quoi. » source : https://www.lemonde.fr/election-pre...ovocation-de-sos-racisme_6104889_6059010.html